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La CAMPILARO Pyrénées 2016 dans la presse régionale

mercredi 17 août 2016 à 20:31

Télécharger l’article du vendredi 5 août 2016 paru dans La Nouvelle République des Pyrénées.

Ils l’ont dit à Francis Abadie, journaliste à La Dépêche du Midi et à La Nouvelle République des Pyrénées :

Elleke Claessen (Hollande) :
Trouver en tête d’un classement individuel une cycliste des Pays Bas à qui le profil de la chaîne des Pyrénées correspond mieux que celui de son plat pays natal n’est pas chose commune. De plus, elle le dit aussi bien dans la langue de Shakespeare que dans celle de Cervantès : "Je participe à des courses réservées aux féminines en Hollande. Les montées de cols correspondent bien à ce que j’attends d’un parcours. J’ai conjugué cette année vacances et sport pour mieux appréhender la montagne et les Pyrénées où la nature est si différente que dans les Pays-Bas. Chez vous ici c’est vert. C’est la première fois que je participe à une course à étapes. L’organisation y est remarquable. J’espère pouvoir revenir l’an prochain".

Emmanuel Hollebeke (France) :
Le percutionniste de l’orchestre de radio France a deux passions : la musique et le cyclisme. Déjà vainqueur de la première Campilaro en juillet 2015, il est revenu pour faire le doublé. "Mes deux activités sont complémentaires. Je suis admiratif devant l’humanité de tous les bénévoles qui gravitent autour de la Campilaro est tout simplement remarquable. L’organisation est hyper professionnelle. Cette nouvelle formule de course est intéressante. La notion de partage est toujours présente. J’étais venu avec l’envie de regagner et de défendre mon acquis de l’an dernier. Mon pire adversaire c’était moi-même. Je souhaite revenir l’an prochain."

Guillaume Cloître (France) :
"C’est chouette que le parcours change tous les ans. Ainsi, à chaque édition on va à la découverte de nouveaux paysages, de villages et de terroirs inconnus pour nous. C’est la formule très intéressante de cette course qui le permet. On passe par des grands cols mythiques et en suivant par des contrées plus sauvages et plus bucoliques. Mon point dur s’est situé dans les 7 derniers kilomètres du col d’Aspin où j’ai fini comme j’ai pu."

Frédéric Hollebeke (France) :
"La formule de ce parcours où les chronomètres ne sont déclenchés que lors de montées constitue un avantage pour moi qui suit plus grimpeur que rouleur. Ainsi, on ne prend pas non plus de risques dans les descentes. Dans l’ensemble, tout s’est bien passé pour moi. J’ai bien géré et je me suis montré assez régulier sur l’ensemble du parcours. Je suis impressionné par le nombre de bénévoles qui officient dans cette épreuve bien réfléchie et bien réglée. Tous sont réactifs au moindre problème tout au long de cette épreuve choc."